David Girard semble annoncer l’aveuglement de la « communauté » sur le VIH (il fut en ce sens sa propre victime ; G. Araki était plus clairvoyant dans sa critique du capitalisme – autre sujet) et l’explosion du commerce gay (probablement était-il aussi capitaliste que généreux). Il est impossible de porter un jugement simple sur ce type avenant, sincère sans doute, piégé dans une impasse qui se révèle nihiliste.
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